Le droit de grève vient de subir une intolérable violation. Nous condamnons avec la plus grande fermeté les actes de violence que viennent de subir des représentants syndicaux et les personnels grévistes de la SGDB. Le monde du travail et ses organisations syndicales et politiques doivent-ils se sentir menacés dans leur ensemble par les méthodes de patrons qui se comportent en chefs de bandes ?
Si c’est le cas nous appelons les pouvoirs publics à mesurer avec la plus grande attention les conséquences d’une telle situation. Les violations de nos droits fondamentaux doivent trouver une riposte par les mobilisations publiques de tous les salariés. Au-delà des sigles et des sensibilités, nous nous devons de réagir collectivement face à l’inacceptable et témoigner de notre solidarité aux victimes de la violence patronale.
A Manca