Erdogan et ses complices des milices islamistes ensanglantent toute une région du monde.
Viols, tortures, emprisonnements abusifs, exécutions sommaires se multiplient à l’encontre du peuple Kurde et de toutes celles et ceux qui se refusent à la soumission.
Macron et son gouvernement, faute d’apporter aide et soutien à la résistance kurde, s’acharnent contre elle, faisant ainsi preuve d’une hostilité de tous les instants.
Dans les faits, Macron et son gouvernement sont tétanisés par le chantage exercé par Erdogan. Celui-ci s’engouffrant dans les brèches des politiques européennes menace en effet d’ouvrir grand les portes vers les pays de la CEE et de laisser ainsi partir des centaines de milliers de réfugiés. En faisant la part belle aux populistes et autres néo-fascistes, les gouvernements européens dressent des murs destinés à refouler les réfugiés.
A ce petit jeu, aussi indécent que criminel, les pires ennemis des droits de l’homme en sortent vainqueurs. Erdogan, les islamo-fascistes, les populistes et les néo-fascistes tirent tous les bénéfices des politiques menées par les États Européens.
Le PKK n’est pas une organisation « terroriste ». C’est le parti de la lutte des Kurdes contre une oppression séculaire. C’est l’organisation qui propose un projet de société fondé sur le droit des femmes, l’autogestion et le confédéralisme.
Et c’est aussi cela qui dérange les partisans du néo libéralisme.
A Manca appelle à soutenir plus que jamais les militantEs et sympathisantEs du PKK en exigeant l’arrêt de toutes les poursuites et en demandant le retrait du PKK de la liste des organisations terroristes.
A Manca